Revue trimestrielle internationale de la Société d’études ornithologiques de France éditée depuis 1929. Elle ne publie que des articles scientifiques, signés et dont le contenu a été préalablement vérifié par des spécialistes du domaine.
La collection d’Alauda a été numérisée et est consultable en ligne sur le portail documentaire du Muséum national d’Histoire naturelle pour les années 1929 à 2005. Également inscrit au plan régional de conservation partagée en 2009, ce titre est conservé au muséum de Toulouse qui possède la totalité des numéros édités à ce jour. Ceux-ci font l’objet d’un dépouillement depuis 2016.

Alexanor est la revue des Lépidoptéristes français. Éditée depuis 1959 sous l’égide du Muséum National d’Histoire naturelle de Paris, ce périodique publie des articles relatifs aux papillons de la région du Paléarctique occidental. Il a intégré le plan de conservation des périodiques en Midi-Pyrénées en 2009. La collection que conserve le muséum est complète. Seulement huit bibliothèques sur le territoire national disposent de la collection entière.

Alytes, nom d’un genre d’amphibiens de la famille des Alytidae et nom générique du crapaud accoucheur, est une revue publiée par le Laboratoire des reptiles et amphibiens du Muséum National d’Histoire naturelle, la Société batrachologique de France et l’International Society For The Study And Conservation Of Amphibians dès 1982. Elle a pour sujet l’étude des amphibiens, de leur conservation et de leur habitat.
Cinq bibliothèques dont le muséum déclarent posséder une collection complète. Ce titre est inscrit au plan régional de conservation partagée des périodiques depuis 2009.

Avant de participer aux côtés d’ Émile Cartailhac et Henri Breuil à la création de l’Institut de Paléontologie humaine à Paris en 1910, Marcellin Boule fonde la revue en 1906. En 1963, la revue se scinde en deux titres distincts traitant pour l’un, des vertébrés, et pour l’autre, des invertébrés avant de fusionner en 1982. Sous l’égide de l’Association Paléontologique Française (APF), ce sont des articles traitant des fossiles animaux et végétaux dans tous les domaines de la paléontologie dont il est question.
En dépit de nos efforts, notre collection reste lacunaire, même si seulement neuf années sont absentes de nos fonds.

Créée par Henry de Lumley en 1890 a joué un rôle premier dans le développement des sciences préhistoriques et anthropologiques. Elle jouit encore aujourd’hui d’une renommée internationale. Éditée 5 fois par an, elle est constituée de mémoires originaux, d’actualité et d’analyses d’ouvrages, dans le domaine de la géologie du quaternaire, de l’environnement de l’homme fossile, de la paléontologie humaine et de la préhistoire.
Inscrite depuis 2009 dans le plan régional de conservation partagée des périodiques, elle fait l’objet, au sein de la bibliothèque, d’un dépouillement pour chaque numéro dès 2012.
Hormis six tomes, la Muséum possède l’intégralité des numéros de cette collection dans ses fonds.

Revue de vulgarisation scientifique sur l’actualité de l’archéologie éditée depuis 1964.
Aucun numéro ne manque à la collection de la bibliothèque. De fait, cette revue a été elle aussi inscrite au plan régional de conservation partagée des périodiques.

Édité de 1904 à 1963, il a été scindé en deux titres, à savoir Le Bulletin de la Société préhistorique française. Études et travaux de 1965 à 1977 et Bulletin de la Société préhistorique française. Comptes rendus des séances mensuelles. Ce n’est qu’en 1978 que ces revues furent de nouveau réunies sous le titre de Bulletin de la Société préhistorique française.
Le titre le plus ancien de la filiation connaît un certain nombre de lacunes mais il a été numérisé et peut donc être largement consulté gratuitement sur la base de données Persée.
Inscrit dans le plan régional de conservation des périodiques en 2014.

Fondée en 1866 et s’inscrivant dans le mouvement de création de sociétés savantes de cette époque, la société publie des articles de toutes les disciplines qui constituent les sciences naturelles et qui ont trait au Sud-Ouest de la France.
Gaston Astre écrira en 1966, que “Dans le sillage que Philippe Picot de Lapeyrouse avait ouvert au XVIII^e siècle et au début du XIX^e siècle, une véritable école toulousaine avait pris naissance, sous l’influence de savants pleins de zèle” et que “grâce à l’impulsion de Filhol, fondateur du Muséum d’Histoire naturelle de Toulouse ouvert au public en 1865 et de ses collègues Clos, Noulet, Joly et autres, les jeunes gens et quelques vieux amateurs fondaient la Société d’Histoire Naturelle de Toulouse”.
De par son lien historique avec le muséum, cette revue dont nous disposons de tous les numéros, est bien évidemment conservée dans son intégralité dans nos murs. Elle a depuis, été numérisée par la Bibliothèque Nationale de France (BNF) et est donc disponible sur le site Gallica.

Édité depuis 1948, il devient en 1986 le Bulletin de la Société préhistorique Ariège-Pyrénées avant de prendre le nom de Préhistoire, art et sociétés en 2001.
Malgré les quelques lacunes dans notre collection, l’intégralité de la revue a pu être numérisée sur Gallica, à l’initiative de la bibliothèque du Muséum et de la Société préhistorique de l’Ariège, avec le soutien de la BNF dans le cadre de la numérisation des revues scientifiques.
Cette revue a fait l’objet d’une inscription au plan de conservation partagée des périodiques en 2009 et à part quelques numéros dans les tous premiers tomes, la collection du muséum est complète et fait l’objet d’un dépouillement systématique à chaque numéro.

Le musée conserve, là aussi, tous les numéros depuis 1974 et ils sont intégralement dépouillés depuis le premier numéro.
Revue consacrée à la vie des animaux sauvages, des arbres et des fleurs de France très connue des naturalistes, petits et grands.

Revue botanique publiant des articles sur la flore de Toulouse, de la Haute-Garonne et de Midi-Pyrénées. Elle est éditée depuis 2002.
De par son caractère régional, nous avons tout naturellement constitué une collection depuis le premier numéro et nous sommes engagés à la conserver dans le cadre de la conservation partagée régionale des périodiques. Seules trois institutions ont une collection complète.

Le musée conserve l’intégralité des numéros depuis le début de l’édition en 1988. Il intègre aussi le plan régional de conservation des périodiques en 2009 et est intégralement dépouillé depuis 2012. Titre « phare » pour les professionnels des musées.

Comme son sous-titre l’énonce, cette revue fait le point sur la morphologie, la biologie, et la systématique des mammifères.
Intégrant le plan régional de conservation des périodiques en 2009, et grâce à divers dons et achats, la collection du muséum est complète depuis le premier volume en 1936.

Le musée conserve les numéros depuis 1958 et intègre le plan régional de conservation des périodiques en 2009. Titre « phare » pour les professionnels des musées.

Revue relativement récente puisqu’éditée depuis 2007. C’est une revue trimestrielle rédigée par la National Institute of Polar Research , et a pour vocation de diffuser des articles scientifiques sur les régions polaires terrestres et non terrestres.
Même si nous ne conservons ce titre que depuis 2013, il n’en est pas moins précieux du fait de sa rareté dans les collections nationales ; en effet, seules cinq institutions sur le territoire français ont signalé cette collection dans le catalogue des universités françaises (SUDOC).

Revue de vulgarisation sur l’actualité scientifique internationale fondée en 1977 par Philippe Boulanger, physicien. Elle est la version française du mensuel Scientific American.
Le muséum conserve la collection intégrale et l’a inscrite au plan régional de conservation partagée des périodiques en 2015.

Créé en 1946 sous le nom d’Atomes, la revue prend le nom de La Recherche en 1970. Elle absorbe successivement les revues Nucleus en 1971 et Science, progrès, découverte en 1973.
La bibliothèque conserve la collection intégrale.

Créée et portée de 1977 à 200 par un seul et même homme, aujourd’hui décédé : Jean-Claude Ledoux. Après quelques années de latence, la revue fut reprise par l’AsFrA (Association Française d’Arachnologie) qui a décidé de débuter une 2ème série en 2014.
Initialement la Revue arachnologique publiait « des articles originaux concernant les arachnides (acariens exceptés) » . Elle concerne maintenant toutes les disciplines arachnologiques.
La bibliothèque du Muséum qui avait inscrit cette collection au plan de conservation partagée des périodiques en 2009, a su patienter et ne pas rater la sortie de la toute nouvelle série, elle aussi conservée dans son intégralité, d’autant plus que seules quelques bibliothèques en France possèdent ce titre dans leur fonds.

Ce trimestriel puis semestriel édité initialement de 1950 à 1964 par le Laboratoire Arago à Paris s’est scindé en trois séries différentes (Biologie marine, Océanographie et Biologie terrestre) avant de fusionner de nouveau en 1980, et de paraître en anglais. Il a pour vocation d’être un journal international d’écologie générale mais est axé tout de même sur la vie marine.
Nous conservons tous les numéros de cette collection maintenant complète. Ces 4 titres ont donc logiquement intégré le plan de conservation des périodiques en 2009. Depuis peu, il n’est plus édité qu’en version numérique mais nous en mettons une version papier à disposition des usagers de la bibliothèque que nous archivons par la suite, au même titre que les numéros édités par le passé.
Les suppléments que sont « Faune marine des Pyrénées-Orientales » et « Faune terrestre et d’eau douce des Pyrénées-Orientales » sont aussi conservés dans leur intégralité dans notre réserve.

C’est la revue scientifique du Conseil international pour l’archéozoologie. Étant donné que cette discipline scientifique vise à reconstituer l’Histoire des relations naturelles et culturelles entre l’homme et l’animal, il semblait tout naturel que cette revue intègre les collections imprimées du Muséum.
Seuls seize numéros ont été édités de 1986 à 2001. Peu de bibliothèques ont signalé ce titre sur le Sudoc et quatre bibliothèques seulement, dont le Muséum, possèdent une collection entière. La revue fait partie du plan régional de conservation des périodiques.

Comme son titre l’indique, chaque numéro se propose d’être l’écho des articles français et étrangers sur les coléoptères, toutes les nouvelles espèces y sont répertoriées, accompagnées autant que possible des descriptions et figures.
Cette revue n’a été publiée mensuellement que durant deux années en 1890 et 1891. Celle-ci est conservée au muséum et dans six autres bibliothèques au niveau national. Il a aussi intégré le plan régional de conservation des périodiques en 2015.

“journal spécial s’occupant exclusivement des diatomées et de tout ce qui s’y rattache”
Le muséum conserve la totalité des vingt-quatre numéros parus entre 1890 et 1896. Ce titre fait partie du plan de conservation partagée des périodiques depuis 2016.

Journal d’entomologie descriptive exclusivement consacré à l’étude des coléoptères d’Europe et des pays voisins fondé par Jules Desbrochers des Loges, entomologiste français, et publié de 1891 à 1911.
Nous sommes la seule bibliothèque sur le territoire à posséder la collection complète de cette revue et l’avons donc inscrite au plan régional de conservation partagée des périodiques.

Ou Recueil de mémoires sur l’exploitation des mines est le titre de périodique le plus ancien que le muséum conserve. C’est un mensuel qui a été publié de 1794 à 1815 par l’Agence des mines de la République. La collection est complète.

Dont le sous-titre s’intitule « histoire des animaux vivants et fossiles, moeurs, distribution géographique et paléontologique, anatomie et physiologie comparées, embryogénie, histologie, tératologie, zootechnie, etc… » est un titre publié à la fin du XIX^e siècle par Paul Gervais, zoologiste, paléontologue et entomologiste français.

Seuls six tomes que nous possédons, publiés de 1872 à 1877, sont gardés au titre de la conservation partagée de périodiques depuis 2016 et sont consultables sur Gallica.

1831-1845) prend le nom de Revue et magasin de zoologie pure et appliquée en 1849 jusqu’en 1879.
Seules dix bibliothèques en France dont le muséum de Toulouse, ont ce titre dans leurs collections.

Titre générique qui comprend en réalité Matériaux pour l’histoire positive et philosophique de l’homme (1864-1867) suivi de Matériaux pour l’histoire primitive et philosophique de l’homme (1868) suivi de Matériaux pour l’histoire primitive et naturelle de l’homme et l’étude du sol, de la faune et de la flore qui s’y rattachent (1869-1872) suivi de Matériaux pour l’histoire primitive et naturelle de l’homme (1873-1888), a été dirigé de 1864 à 1868 par Gabriel de Mortillet, archéologue et anthropologue français, qui a proposé une classification encore en partie utilisée aujourd’hui, puis par Émile Cartailhac et Eugène Trutat de 1869 à 1872 et par Émile Cartailhac et Ernest Chantre de 1873 à 1888.
C’est le titre historique qui fusionne avec Revue d’anthropologie (1882-1889) et Revue d’ethnographie (1882-1889) pour donner L’anthropologie(1872-1889), encore édité de nos jours.
Le muséum conserve la totalité de ces titres avec une collection quasiment complète sauf pour la Revue d’anthropologie pour lequel apparaissent quelques lacunes.
Matériaux pour l’histoire de l’homme, Revue d’ethnographie et L’Anthropologie ont intégré le plan de conservation partagée des périodiques.

Sous-titrée « revue des sciences et de leurs applications aux arts et à l’industrie : journal hebdomadaire illustré », est une revue de vulgarisation scientifique fondée en 1873 par Gaston Tissandier qui donnera naissance en 1973 à La Recherche. Le titre paraît de 1873 à 1960.
C’est parce que ce chimiste fut préoccupé par le manque d’information scientifique en France, au lendemain de la guerre de Franco-prussienne (1870-1871), qu’il décide de créer La Nature.
En regard de la périodicité et du nombre important de numéros parus, la collection du muséum constituée pour une grande partie grâce au don de l’Abbé Crouzel, mais aussi de celui des Archives départementales des Hautes-Pyrénées, connaît quelques lacunes mais en possède la grande majorité.

Titre à la longue histoire éditoriale qui ne sera pourtant édité que de 1882 à 1889. Fondée par Ernest-Théodore Hamy, célèbre anthropologue et ethnologue français, fondateur du Musée d’ethnographie du Trocadéro en 1878 et co-fondateur de la galerie de paléontologie et d’anatomie comparée en 1898, elle fusionnera par la suite avec la Revue d’anthropologie, autre grand titre dans l’histoire des périodiques puisque c’est Paul Broca, pionnier en anthropologie physique, fondateur de la Société d’Anthropologie de Paris en 1859 et de l’École d’anthropologie de Paris en 1876. Ces deux titres historiques fusionneront à leur tour avec Matériaux pour l’histoire primitive et naturelle de l’homme pour donner L’Anthropologie (Paris).
Entrée dans le plan de conservation régional des périodiques en 2016, la collection du muséum est complète. Le titre a été numérisé par la Bibliothèque Nationale de France et est donc accessible sur le site Gallica.

Parue de 1934 à 1965, elle fut fondée par Robert Jeannel, directeur du Muséum national d’Histoire naturelle, éminent spécialiste de l’entomologie souterraine et fondateur avec le zoologue toulousain Albert Vandel (1894-1980) du Laboratoire souterrain de Moulis dans l’Ariège qui étudie les animaux cavernicoles dans leur milieu. C’est d’ailleurs dans cette grotte que sont formés tous les guides de visite des grottes de France. Elle sera par la suite absorbée par les Annales de la Société entomologique de France.
Une partie de la revue est consacrée à l’actualité, aux observations biologiques, tableaux de détermination, etc. tandis que l’autre partie fait place aux mémoires originaux.
En 1979, cette revue renaîtra sous le nom de Revue française d’entomologie (1979) grâce à l’Association des Amis du Laboratoire d’ entomologie du Muséum, mais l’édition cessera en 2011.
Liées historiquement, ces deux revues dont les collections sont complètes, sont donc tout naturellement conservées à la bibliothèque du muséum et du fait de leur rareté en France, elles sont aussi inscrites au plan régional de conservation des périodiques.

Édité depuis 1873,  en 1875, il devient Le Rucher, journal d’apiculture raisonnée. C’est une revue fondée par Edward Drory et la Société d’apiculture de Gironde qui s’arrêtera de paraître en 1877. À l’exception de trois numéros, notre collection est complète.